
aurais-je la force un jour de choisir, De pouvoir être bien
De ne plus souffrir De me lever le matin Sans vouloir
mourir, De vivre pleinement ma journée,
Sans douter une seule fois de ma présence Dans
ce monde incompréhensible Que de malheur et
de souffrances Jusqu'a ce que je me décide De m'ouvir les
poignets Pour voir défiler ma vie Voir couler
ce sang, Remplit de douleur Et enfin partir Rentrer
dans ce monde Sans lumière, Sans souffrances
Que du noir. Ne plus rien ressentir Dormir que dormir.